Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Envoles moi

20 septembre 2009

Rebondir. Trouver l'énergie Ah il a trouvé

fame

Rebondir.

Trouver l'énergie

Ah il a trouvé l'énergie

Oh elle a trouvé elle aussi

il faut qu'ils la saisissent

l'enroulent autour d'eux

et ne la laisse pas partir

Publicité
Publicité
17 septembre 2009

Un monde tout en contraste J'entends les rires

18808432_w434_h_q80

Un monde tout en contraste

J'entends les rires des enfants

Alors que je pleure

14 septembre 2009

il dansait, si, si il dansait avec une femme,

64778548

il dansait, si, si 

il dansait

avec une femme, jeune et belle qui portait des fleurs en guise de collier

le pire c'est qu'ils se marraient tous les deux

et ils dansaient bien

y'avait du orange autour d'eux

et des teintes tamisées

il faisait bon

la musique c'était Couleur Café

exotique

il était heureux

il avait tout lâché

13 septembre 2009

L'hiver quand elle portait son manteau bleu ciel

wild24la0

L'hiver quand elle portait son manteau bleu ciel

on aurait dit une petite poupée de porcelaine

11 septembre 2009

Emprisonnée ? Quelque chose, sa vie, tellement de

6875907

Emprisonnée ?

Quelque chose, sa vie, tellement de choses, toujours être là, quand il faut

Elle assume.

Elle a pris des rides un peu, tu as remarqué ?

Trois petits cheveux blancs, ça m'a choqué

Elle maigri à vue d'oeil

Et ses cernes, t'as pas vu ses cernes ?

Tout l'temps pâle, elle a pris des vacances ?

Elle avance pas, tu trouves qu'elle avance toi ?

non.

Elle est tout le temps fatiguée en ce moment,

peut-être qu'une cure de vitamines lui ferait

le

plus

grand

bien.

Ou prendre le large ?

Publicité
Publicité
10 septembre 2009

Et le temps s'arreta Elle le regarda, ne pouvait

18809178_w434_h_q80

Et le temps s'arreta

Elle le regarda, ne pouvait pas s'en empêcher

Ce regard lui rappelait cet homme qu'elle avait tant aimé

Alors elle ne pût s'empêcher de le suivre des yeux,

de le regarder

Les gens qui s'agitaient, les bruits autour, l'agitation environnante devenaient inaudibles

imperceptibles

ne l'atteignaient plus.

Le temps n'existait plus

A dire vrai

plus rien n'existait

Seulement cet homme avec ce regard qui lui rappelait cet homme qu'elle avait tant aimé

Quand elle avait 21 ans.

8 septembre 2009

- On aurait dû y penser avant, on est cons - Ce

Allocine_DoTheRightThing

- On aurait dû y penser avant, on est cons

- Ce qui compte c'est qu'on y ait pensé,

maintenant c'est pas trop tard.

7 septembre 2009

Ce matin, dans les rues lumineuses, tout vivait,

le_fabuleux_destin_d_amelie_poulain

Ce matin, dans les rues lumineuses, tout vivait, tout étincellait.

Ce matin, il s'est installé à une terrasse de café, il a pris un café serré et il a un peu bouquiné ce livre de Fante, déjà lu, relu, rerelu, mais Fante..

Ce matin, il a fermé son livre et il a regardé les gens passer

Il y avait ce couple d'au moins 80 balais qui passait passait

main dans la main, délicatement aprêtés, subtils et  légers

leur visage affichait un sourire des plus mystérieux

amoureux surement il ne savait pas, s'en fichait, mais il les regardaient, les trouvaient sereins, grands et un peu artistes dans leur genre.

Et puis il y a eu ce groupe de jeunes, très jeunes dans les 16 ou 17 ans, une once de nostalgie, quand j'avais 17 piges il s'était dit et puis il avait bloqué sa pensée à juste les regarder,  ils étaient bruyants, impertinents  et intrépides comme lui quand il avait 17 ans

Y'a eu aussi cette femme qui courait, une apparence toute en dualité, un visage qui avait parfois mal dormi, qui avait été contrarié, marqué dit-on ? ridée, oui c'est mieux et pourtant elle avait sa jeunesse dans son corps, elle était élancée et de dos tu jurerais une gamine, elle était belle il trouvait, cette dualité lui plaisait, lui plaisait.

Il y a eu cet homme, on ne sait pas comment il tenait debout, il trébuchait tous les dix mètres, déjà bourré ? sans doute, il ne savait pas, il s'en fichait, mais la misère affectueuse était là devant ses yeux, une vague tristesse et puis l'indifférence à repris le dessus.

Après qu'une maman passe avec ses marmots et son Ipod, il s'est levé, a laissé  trois pièces et est parti.

Ce matin, il s'est arreté acheter des croissants au beurre et des pains au chocolat. Il s'est dit comme ça qu'il lui préparerait un petit déjeuner à celle qu'il aime et qui dort encore, qui dort encore.

En sortant de la boulangerie, il a allumé sa première cigarette, d'habitude il la fume avec son café, mais pas ce matin non, il essaie de ralentir la clope tu comprends.

Et puis il est monté chez lui, a ouvert la porte de son appartement, est entré, a refermé la porte derrière lui, a retiré sa veste, l'a jetée en vrac sur le canapé et s'est englouti dans la cuisine pour préparer le café.

Il a allumé la radio, n'a pas écouté ce qu'ils disaient, lui il sifflait.

Empressé,  il a été dans la chambre, là où sa belle dormait, dormait, il est entré à pas de velours, a déposé le plateau sur le lit et lui a sussuré des mots doux, en lui embrassant le cou, le menton, la bouche.

Elle a ouvert les yeux, a sourit, l'a chopé par les épaules, l'a attiré contre elle, et ils ont rigolés. Il s'est déshabillé, très vite, elle l'a aidé, en riant très fort.

Si bien et tant que dans leur élan, le plateau a valsé, y'avait de l'amour partout sur le lit.

Les tracas et les soucis se sont retrouvés sur le sol.

7 septembre 2009

ça faisait trois quard d'heure qu'elle était là,

18433135_w434_h_q80

ça faisait trois quard d'heure qu'elle était là, dans la cuisine alors que ses enfants criaient, jouaient, se chamaillaient. Elle qui, calme et placide épluchait des pommes de terre, n'avait pas pensé à allumer la radio qui se trouvait pourtant à côté d'elle, si elle l'avait fait, elle aurait surement fredonné, chantonné en même temps qu'à la radio du son passait, elle aurait certainement basculé ses hanches de gauche à droite, puis de droite à gauche, elle aurait certainement danser sur elle-même, virevolter peut-être, un peu rigolé toute seule, sure qu'elle aurait au moins souris, surement que prise par la gaiété soudaine émanant de son être grâce à cette mélodie sortie de cette petite radio rouge, elle aurait appelé son énorme chien, elle aurait arrêté quelques instants d'éplucher ses patates et aurait joué avec lui, elle aurait rigolé un peu fort, du coup ses enfants auraient rappliqué, et ils auraient joué avec elle, et elle avec eux. Et puis elle se serait lavé les mains, peut-être qu'elle aurait éclaboussé ses mômes, et ils auraient ris encore, que sais-je moi, mais non, elle n'avait pas allumé sa radio, pas écouté de son, pas fredonné, pas dansé, pas rigolé ni fait rire ses enfants, ni même réveillé son énorme chien. Rien de tout ça n'était arrivé, elle a juste épluché ses pommes de terre.

2 septembre 2009

C'est comme une vague d'envies Un bruit Du bruit

18895384_w434_h_q80

C'est comme une vague d'envies

Un bruit

Du bruit dans mes synapses

D'un temps imparti

Tchiiiiiiiii...

Une idée qui se réveille

Qui virevolte

Et qui s'enfuit

Ziiiim...

Une goutte de pluie qui tombe sur mon oeil

Qui se perle sur ma joue

Et qui s'évanouit

Je veux la rattraper

la garder

Car elle me rafraîchit

Tchik.

C'est comme une bulle de savon

Qui ne veut pas éclater

Elle s'échappe de mon balcon

Tourne, tourne dans les airs

Semble toucher le ciel

Et elle éclate

Alors que je l'admirais

Paf.

Des pas pressés, des talons qui font clac clac clac

Sur le bitume

Des pas rythmés qui avancent

Et qui s'inondent dans une flaque

Splaaash.

31 août 2009

Les promesses d'avant sont vite oubliées, les

thelma_and_louise_off_a_cliff

Les promesses d'avant sont vite oubliées, les avis changent et les gens changent, quoi qu'on en dise, quoi qu'on en pense, nous sommes en constante évolution, rien n'est figé, c'est ce qu'elle se disait alors qu'elle regagnait sa voiture garée un peu à l'arrache sur le trop tard du temps qui passe. Mais qu'à cela ne tienne, se dit-elle en démarrant et en enclanchant la première, je sais m'adapter, d'accord j'oublies mes sentiments, et je ne vais pas pleurer sur mes lauriers ni mon sort, d'accord. D'un geste électrique et rapide, elle démarra en trombe, se retrouva en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, sur la route.

Et puis ses larmes se mirent à embrouiller toute sa vision.

30 août 2009

Interlude ~

18392674_w434_h_q80

- Donnes moi ta main

- Ma main ? pourquoi ?

- Parce que j'veux tenir ta main, comme des amis qui se tiennent la main.

( 23 mars 2004  avenue d'Italie, Paris 13ème, avec Gaby )

29 août 2009

Alors qu'il buvait son café en regardant les

G45011252528123

Alors qu'il buvait son café en regardant les voitures s'affoler en bas de sa fenêtre, une idée lui traversa l'esprit, et si au lieu de me rendre à mon travail ce matin je me promenais ? Et si je partais m'abreuver de ce petit air léger pour aller respirer un peu ? Et si je prenais ma voiture pour partir d'ici et aller je ne sais pas où ? Un léger rictus apparut au bord de ses lèvres, il but une gorgée de café chaud et en allumant sa cigarette se dit non n'importe quoi.

18 août 2009

Ces appels à la liberté, ce souffle, cette

na

Ces appels à la liberté, ce souffle, cette ivresse, ne pas penser au lendemain, juste éclater la nuit comme elle émerveille, ces instants de complicité, de puissance où l'on se sent infaillible, comme une déchirure là, comme un "souviens-toi" qui n'est pas si loin, ces cris de joies, ces sourires partagées, ces mains effleurées, ces corps frolés, ces vies touchées, cet état absolument merveilleux, plus de notion de temps, d'endroit, de quand, de où, de pourquoi, juste maintenant, ici, sans la moindre question, cette fluidité, cette légèreté, ces nuits qui étaient plus belles que vos jours, cet incroyable envol, ce sentiment d'Etre sans être vraiment, juste comme dans un rêve, ne pas penser, juste réagir, agir, se laisser porter par le vent, le courant, l'électricité de l'air, l'air, le souffle, la vie, l'Energie, la fureur en soi, l'envie, la vie, cette vibration extrème, ce délice d'être un peu à part, totalement à part.

15 août 2009

***J'aurais aimé rester avec toi Quand je suis

37_2_le_matin_1986_12_g

***
J'aurais aimé rester avec toi

Quand je suis partie

Nos heures magiques me manquent

***

28 juillet 2009

Un être qui vous manque et c'est son souvenir

Tricky___Blowback

Un être qui vous manque et c'est son souvenir qu'on voit dans la lueur d'une bougie

Un être qui vous manque et c'est son regard que l'on recherche parfois, un peu, partout, tout le temps

Un être qui vous manque et c'est se souvenir de son rire, de son sourire, les prendre en vous, en faire votre énergie

Un être qui vous manque et c'est rêver de lui, le revoir dans le noir, là tout bas, tout bas

Un être qui vous manque et c'est se rappeler des détails, au firmament des années qui passent, ne jamais les oublier

Sa voix, le son qu'elle faisait sa voix

Son rire, le son que ça faisait son rire

Sa voix au téléphone, celle qui vous faisait avancer, rire, rêver

Ses yeux, ceux qui vous fixaient si intensément

Sa peau,

Sa douceur,

Sa sensibilité,

Sa beauté,

Son odeur,

Sa fougue,

Sa lumière,

Ses débordements,

Sa présence

Son attention

Sa protection

Oh....

30 juin 2009

Le soleil est rare et le bonheur aussi L'amour

Clean_cheung

Le soleil est rare

et le bonheur aussi

L'amour s'égare

Au long de la vie

Le soleil est rare

et le bonheur aussi

Mais tout bouge

Aux bras de Melody

Les murs d'enceinte

Du labyrinthe

S'entrouvent sur

L'infini

Valse de Melody - 1971- Serge Gainsbourg - © Melody Nelson Publishing

25 avril 2009

T'as hésité pendant une demi-heure. Tu t'es

jeplane1280

T'as hésité pendant une demi-heure.

Tu t'es brûlée avec l'eau bouillante du robinet.

T'as trop bavardé.

Du coup ton café était tiède.

Tu l'as bu.

Vite fait.

T'étais en retard.

Tu t'es installée au dernier rang.

T'as pris des notes.

T'as fais des dessins en prenant tes notes.

T'as dessiné des visages.

Tu t'es attardé sur les cheveux.

T'as écouté ce qu'ils disaient et pourquoi ils ralaient.

T'as rigolé avec la femme qui était devant toi.

T'as longtemps regardé son boubou, il était rouge et beige et marron et beau.

T'as un peu rêvasser.

T'as regardé les boucles d'oreilles qu'elle portait.

Tu t'es dis qu'elles te plaisaient.

Du coup tu te souvenais plus des boucles d'oreilles que tu portais.

Tu les as touchées, et puis tu t'es rappelé. Elles viennent d'Espagne. Enfin tu crois.

Et puis tu es partie.

T'as regardé la pendule au-dessus de la porte de sortie, elle était arrêtée.

Alors t'as regardé l'heure sur ton portable.

Dehors t'as trouvé qu'il faisait froid.

T'as roulé vite.

Un peu trop.

T'as dis bonjour à F. et bonjour à P.

Et puis t'as fais un calin à elles.

Tu as souris.

Tu as porté des plantes, caressé leur feuilles.

T'as caressé sa peau.

T'as dis des conneries, rigolé avec lui.

T'as lu ce sms.

Tu t'es dis que des fois t'aime pas les sms.

T'as tourné les pages, lu quelques lignes.

T'as poussé les rideaux, ouvert la fenêtre.

En grand.

Publicité
Publicité
Publicité
Archives
Publicité